Nous portons tous dans nos cellules notre code génétique, l'hérédité mais également toute notre histoire vécue et tout ce que notre mémoire inconsciente a oubliée ou refoulée. C'est ce que nous appelons la mémoire épigénétique.

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Parfois, face à un vécu difficile nous avons dû nous adapter et la manière dont nous avons traversé ces moments, les émotions que nous n'avons pas pu exprimer se sont inscrites, ancrées dans nos cellules et dans notre inconscient.

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C’est le principe des mémoires cellulaires.

Si une personne dans son enfance a enfoui un souvenir émotionnel douloureux dont il n'a pas conscience, les conséquences de cette empreinte, de cette mémoire va avoir une conséquence sur sa vie une fois adulte. Si cette personne vit une situation semblable ou similaire, alors la mémoire de son vécu aura un impact sur son comportement, son état psychologique, psychique ou sa santé. Ainsi un enfant qui ne s'est jamais mis en colère de peur de déranger l'un de ses parents et qui a enfoui  cette émotion, se retrouvera une fois adulte dans la même problématique, incapable d'exprimer sa colère de peur de déranger.  Il aura l'impression de ne pas pouvoir affirmer ses besoins face à sa hiérarchie par exemple.

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Afin de déprogrammer ce mode de fonctionnement la thérapie en mémoire cellulaire va lui proposer de revenir à l'origine de la problématique afin de libérer l'émotion de colère ancrée et non-exprimée. En libérant cette émotion la mémoire va devenir consciente permettant ainsi à la personne  de retrouver tout son potentiel.

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Le corps possède donc la mémoire de tous ce que l'on a vécu.

Certaines mémoires sont encore plus lointaines puisqu'elles remontent à nos ancêtres, à ce qu'ils ont pu vivre de parfois douloureux et qu'ils ont transmis de génération en génération. 

Ainsi on peut voir des troubles alimentaires chez une personne qui aura en elle la mémoire cellulaire de son grand père qui a connu la faim.

C'est ce que nous appelons la mémoire transgénérationnelle.